jeudi 22 décembre 2011

Comment je suis devenu un homme soumis aux Femmes...

Ma propriétaire Maghrébine, Déesse Orientale vénérée par son toutou français, m'a ordonné d'écrire le texte suivant, expliquant mon parcours d'homme soumis.
En bon clébard à ma Maîtresse, j'exécute Ses ordres donc.

Autant que je me souvienne, j'ai un souvenir, bizarre, qui m'est resté en tête: je devais avoir 6 ou 7 ans, vraiment, et c'est au début de l'adolescence que ce souvenir m'est réapparu (j'ai la mémoire spécifique des émotions): je m'endormais, tard, dans le canapé, quand des Femmes, sexy et en cuir, apparurent à la TV...J'ai alors ressenti quelque chose de fort. Puis me suis endormi...Tout simplement.
A l'adolescence, mes premiers émois n'ont pas été tout à fait du même ordre que ceux de mes camarades, en tout cas je pense...
En effet, comme eux, trouver des photos, des magazines de jolies demoiselles, légèrement vêtues, étaient d'un enjeu redoutable. Mais moi, ce que j'ai apprécié de suite, c'était de ma raconter des histoires dans ma tête, pendant "l'acte" de masturbation, où la fille sur le papier glacé serait très..."méchante" avec moi, disons plutôt autoritaire.
J'ai de suite été attiré par les belles cuisses. Mais aussi par...leurs pieds, surtout quand ces merveilles portaient des tâlons aiguilles.
A cet instant de mon récit, je crois pouvoir dire que la D/S, je ne l'ai pas appris, j'avais ça en moi, depuis toujours. Oui, sauf que voilà, à cette époque, et même encore aujourd'hui, c'est pas vraiment le genre de thèmes libres, dont on peut discuter avec ses amis, en famille...

J'ai un souvenir très précis, autant en parler, de mes premiers émois sexuels, solitaires va s'en dire. Je ne sais plus comment j'ai eu ce magazine, ni son nom d'ailleurs, mais les photos de Sophie Marceau, réalisées par Bettina Rheims, grande photographe, m'ont accompagné un certain temps...
Je fantasmais sur le fait que Mme Marceau me faisait lécher ses pieds, et surtout ses cuisses, magnifiques. Elle était en tâlons aiguilles, très belle, très sensuelle, et me donnait des ordres, à moi, petit adolescent dans sa chambre...
Voici une des photos que j'ai pu retrouvé sur le Net, pas forcément celle qui m'a marqué le plus, mais elle ne me laisse, encore aujourd'hui, pas tout à fait indifférent(celle en bas à droite, très difficile de les retrouver toutes, publiées dans Paris Match donc, semble t'il)...


Evidemment, si les cuisses rondes, légèrement musculeuses, des pieds fins, et des genoux parfaits, non cagneux, me faisaient fantasmer en premier, d'autres parties du corps de ces reines attiraient, et attirent encore mon attention de soumis aux Femmes, aujourd'hui.
Bien entendu, les fesses et les seins y ont une place privilégiée.
Les fesses sont le prolongement naturel des pieds, sur hauts tâlons, et des jambes, galbées, que j'adule.  
Une paire de fesses dans un ensemble, si possible court, mais surtout galbées par le port de tâlons, provoque en moi une réaction en chaîne. Une certaine supériorité s'installe alors dans la Femme que je vois. Elle me domine, car elle est belle, elle est sexy, et que sa façon de s'habiller, de se mettre en valeur me fait penser qu'elle m'est supérieure: si elle me le demandait, je devrais lui obéir, quelque soit son ordre. Le plus humiliant possible, et de la façon la plus autoritaire possible.

Par pitié, Maîtresse...Dressez-moi, comme un chien !

Egalement, et ce n'est pas un détail, la poitrine féminine tient un rôle important dans ma soumission, mais non déterminant.
Une poitrine généreuse, offerte si possible dans un généreux décolleté, est aussi une invitation à me soumettre. Mes hormones semblent m'envoyer alors un message:"C'est Elle la patronne, tu le vois bien...?"

Oui, c'est elle la patronne, bien évidemment. Une femme qui ordonne, c'est un homme qui exécute. Mais, soyons honnête, à condition qu'il y ait attirance physique, le côté sexy, sûre d'elle, dominatrice, autoritaire. Sinon, ce n'est pas tout à fait la même chanson.

Les postures, la façon de marcher, la...voix ! Mmmmm, une voix sexy, monocorde, légérement rauque, en impose vraiment, de même.
La position idéale, est celle de la Femme assise, les jambes croisées. Pourquoi ? Parcequ'elle semble attendre, tout simplement, que l'on s'occupe de tout, que l'on obéisse à ses ordres, au doigt et à l'oeil. Elle surveille, si son sujet lui obéit parfaitement. Elle est une Reine, Cléopâtre contemplant ses sujets, fidèles, dociles, s'afférant à obéir à leur Maîtresse vénérée.

Voilà, en somme, quelques régles de base me concernant, à propos de la supériorité féminine. Bases que j'avais donc en moi, depuis toujours.
La D/S, le S/M, dans ses larges définitions et particularités, je les ai suivi dans le temps, leurs évolutions, comment la société évoluait avec cette idée.

Je crois que c'est assez pour cette partie, sorte d'introduction à ma soumission aux Femmes.

 




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